Nelson Mandela a défendu les "Droits de l'Homme" que l'on fête mondialement ce 10 décembre ! Cinq importantes déclarations de Nelson Mandela...
Nelson Mandela : cinq dates, cinq déclarations
A sa libération le 11 Février 1990
"J'ai lutté contre la domination blanche, et j'ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a été celui d'une société libre et démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie et avec des chances égales. Je me tiens devant vous non pas comme un prophète, mais comme votre humble serviteur, un serviteur du peuple."
A l'assemblée générale de l'Onu en 1994
"Le message que je veux faire passer est que tous ces fléaux sociaux, qui sont une insulte à la déclaration universelle des droits de l'homme, ne sont pas le résultat inéluctable des forces de la nature ou d'une malédiction divine. Ils sont la conséquence de décisions que des hommes ou des femmes ont prises ou refusé de prendre alors qu'ils se proclament sans hésiter ardents partisans de la vision contenue dans la déclaration universelle des droits de l'homme. Aucun peuple ne peut réellement dire qu'il connait le bonheur, la paix et la prospérité lorsque d'autres, humains comme lui, continuent à soufrir de la misère, des conflits, du terrorisme et des privations."
A la sortie de son livre en 1995
"(Avant et pendant la prison), nous combattions l'injustice là où nous la rencontrions, et peu importait qu'elle fût grande ou limitée, et nous la combattions pour préserver notre humanité. (Au début), j'avais des idées plus avancées sur le plan social que sur le plan politique. Alors que je n'aurais pas envisagé de lutter contre le système politique des Blancs, j'étais prêt à me révolter contre le système social de mon propre peuple."
En 1998, à la veille de son retrait officiel de la vie politique
"Quand je serai chez moi à Qunu, aussi vieux que les collines des alentours, je continuerai de nourir l'espoir qu'une nouvelle race de dirigeants est apparue dans mon pays et dans ma région, sur mon continent et dans ma région, sur mon continent et dans le monde, qui ne permettra pas que l'on prive quiconque de la liberté, comme nous en avons été privés si longtemps; qui ne fasse de personne un réfugié, comme nous l'avons été; que personne ne soit privé de sa dignité humaine, comme nous l'avons été."
En 2006, pour Amnesty International
"Vaincre la pauvreté n'est pas un geste de charité. C'est un acte de justice."
A sa libération le 11 Février 1990
"J'ai lutté contre la domination blanche, et j'ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a été celui d'une société libre et démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie et avec des chances égales. Je me tiens devant vous non pas comme un prophète, mais comme votre humble serviteur, un serviteur du peuple."
A l'assemblée générale de l'Onu en 1994
"Le message que je veux faire passer est que tous ces fléaux sociaux, qui sont une insulte à la déclaration universelle des droits de l'homme, ne sont pas le résultat inéluctable des forces de la nature ou d'une malédiction divine. Ils sont la conséquence de décisions que des hommes ou des femmes ont prises ou refusé de prendre alors qu'ils se proclament sans hésiter ardents partisans de la vision contenue dans la déclaration universelle des droits de l'homme. Aucun peuple ne peut réellement dire qu'il connait le bonheur, la paix et la prospérité lorsque d'autres, humains comme lui, continuent à soufrir de la misère, des conflits, du terrorisme et des privations."
A la sortie de son livre en 1995
"(Avant et pendant la prison), nous combattions l'injustice là où nous la rencontrions, et peu importait qu'elle fût grande ou limitée, et nous la combattions pour préserver notre humanité. (Au début), j'avais des idées plus avancées sur le plan social que sur le plan politique. Alors que je n'aurais pas envisagé de lutter contre le système politique des Blancs, j'étais prêt à me révolter contre le système social de mon propre peuple."
En 1998, à la veille de son retrait officiel de la vie politique
"Quand je serai chez moi à Qunu, aussi vieux que les collines des alentours, je continuerai de nourir l'espoir qu'une nouvelle race de dirigeants est apparue dans mon pays et dans ma région, sur mon continent et dans ma région, sur mon continent et dans le monde, qui ne permettra pas que l'on prive quiconque de la liberté, comme nous en avons été privés si longtemps; qui ne fasse de personne un réfugié, comme nous l'avons été; que personne ne soit privé de sa dignité humaine, comme nous l'avons été."
En 2006, pour Amnesty International
"Vaincre la pauvreté n'est pas un geste de charité. C'est un acte de justice."