Le sommeil est essentiel pour les enfants... Des journées d'animation...
NAMUR - Des journées
d’animation sur le sommeil ont été organisées à l’Institut Sainte-Ursule
à Namur. À destination des enfants de maternelle et de primaire.
Ce n’est une surprise pour personne, le sommeil est
très important pour notre santé. Si les spécialistes sont d’accord pour
dire que le nombre d’heures de sommeil nécessaires varie en fonction de
l’horloge biologique de chacun, de l’âge, etc., il n’empêche que nous
avons tous besoin d’un minimum d’heures de sommeil pour être en forme
durant la journée. Le manque de sommeil n’est d’ailleurs pas sans
conséquences sur notre concentration, notre humeur, etc.
Si, d’une manière générale, les adultes peuvent se contenter de sept à huit heures de sommeil par nuit, il n’en va pas de même pour les enfants. Selon leur âge, on estime que ceux-ci devraient dormir entre 10h et 13h par jour. Or, force est de constater que, dans les faits, certains sont loin d’atteindre ce nombre d’heures de sommeil, avec toutes les répercussions que cela peut avoir sur leur scolarité par exemple.
C’est précisément afin de sensibiliser les enfants au besoin de dormir suffisamment que des journées d’animation sur le sommeil ont été organisées à l’Institut Sainte-Ursule de Namur.
À destination des élèves de la première maternelle à la deuxième année primaire, ces journées, conçues par l’ONE, ont été animées par des étudiants de 5e et 6e secondaires options «Agent d’éducation» et «Techniques sociales».
Informer et éduquer
Au total, quelque 250 élèves ont participé à ces journées d’animation. Par groupes d’une petite dizaine, ceux-ci ont été sensibilisés par les étudiants à la problématique du manque de sommeil. «Ils ont appris à distinguer les signes du sommeil, à faire la différence entre le soir et la nuit, à parler des cauchemars, etc. Les étudiants leur ont aussi raconté des histoires et ils ont chanté des comptines», explique Gaëtane Dubois, enseignante à l’Institut Sainte-Ursule.
Hormis le côté ludique des animations, les séances visaient aussi à amener les enfants à réfléchir sur les conséquences inhérentes au manque de sommeil. «On parle ici d’hygiène de vie», souligne une infirmière du centre PMS présente lors des animations. «Il n’est pas rare que des enfants refusent d’aller dormir avant 22 heures, voire plus tard encore. Certains regardent beaucoup trop la télévision, jouent à des jeux vidéo avant d’aller dormir, etc. Résultat, ils sont plus agités le lendemain, certains peuvent avoir des maux de tête ou même s’endormir en classe. La solution passe notamment par la sensibilisation des parents, mais aussi par l’éducation des jeunes.»
Des jeunes qui reconnaissent volontiers ne pas dormir suffisamment.
Source: L'avenir du 30-01-14
Si, d’une manière générale, les adultes peuvent se contenter de sept à huit heures de sommeil par nuit, il n’en va pas de même pour les enfants. Selon leur âge, on estime que ceux-ci devraient dormir entre 10h et 13h par jour. Or, force est de constater que, dans les faits, certains sont loin d’atteindre ce nombre d’heures de sommeil, avec toutes les répercussions que cela peut avoir sur leur scolarité par exemple.
C’est précisément afin de sensibiliser les enfants au besoin de dormir suffisamment que des journées d’animation sur le sommeil ont été organisées à l’Institut Sainte-Ursule de Namur.
À destination des élèves de la première maternelle à la deuxième année primaire, ces journées, conçues par l’ONE, ont été animées par des étudiants de 5e et 6e secondaires options «Agent d’éducation» et «Techniques sociales».
Informer et éduquer
Au total, quelque 250 élèves ont participé à ces journées d’animation. Par groupes d’une petite dizaine, ceux-ci ont été sensibilisés par les étudiants à la problématique du manque de sommeil. «Ils ont appris à distinguer les signes du sommeil, à faire la différence entre le soir et la nuit, à parler des cauchemars, etc. Les étudiants leur ont aussi raconté des histoires et ils ont chanté des comptines», explique Gaëtane Dubois, enseignante à l’Institut Sainte-Ursule.
Hormis le côté ludique des animations, les séances visaient aussi à amener les enfants à réfléchir sur les conséquences inhérentes au manque de sommeil. «On parle ici d’hygiène de vie», souligne une infirmière du centre PMS présente lors des animations. «Il n’est pas rare que des enfants refusent d’aller dormir avant 22 heures, voire plus tard encore. Certains regardent beaucoup trop la télévision, jouent à des jeux vidéo avant d’aller dormir, etc. Résultat, ils sont plus agités le lendemain, certains peuvent avoir des maux de tête ou même s’endormir en classe. La solution passe notamment par la sensibilisation des parents, mais aussi par l’éducation des jeunes.»
Des jeunes qui reconnaissent volontiers ne pas dormir suffisamment.
Source: L'avenir du 30-01-14